« Concrètement, cette problématique de l’intégration se retrouve partout. Nous nous sommes développés à Nantes et en Loire-Atlantique mais les méthodes que nous promouvons peuvent s’avérer utiles sur l’ensemble des territoires où des personnes allophones sont présentes. »
Cette étape de collecte d’informations permet de vérifier que le lieu d’implantation du projet présente les caractéristiques qui justifient la duplication du modèle d’ASAMLA. Pour cela, on peut contacter des acteurs de la lutte contre l’exclusion, comme la Croix Rouge Française, la Cimade, la FAS (Fédération des Acteurs de la Solidarité ), France terre d’asile, le Secours Catholique ou encore Singa. Il faut ensuite identifier des personnes ressources qui pourront aider à l’accompagnement, auprès d’organisations comme Médecins du Monde ou Médecins sans frontières qui pourraient connaître des praticiens intéressés par le projet . Ces derniers sont présents sur de très nombreux territoires dans les CASO (Centre d’Accès aux Soins et à l’Orientation). Il s’agit ensuite de s’informer sur
la communication avec les allophones, en particulier en matière de soins et d’
éducation, en contactant le réseau RIMES, réseau de l’interprétariat médical et social dont fait partie ASAMLA.