« L’idée, c’est vraiment de montrer qu’avec des matières premières naturelles telles que le lin, le bambou ou le chanvre, il est possible de faire des choses très très techniques et très intéressantes. »
Cette étape de collecte d’informations permet de vérifier que le lieu d’implantation du projet présente les caractéristiques indispensables à la duplication ou l’adaptation d’un projet comme In’bô. Il s’agit de vérifier que les matériaux nécessaires à la confection des objets, bois ou autre, sont disponibles sur le territoire. Il est possible d’identifier des producteurs engagés dans une démarche d’exploitation durable de ces ressources. Pour le bois, les labels PEFC et FSE permettent d’acheter du bois issu d’une
gestion forestière « durable »Concept définissant une gestion susceptible de fournir à nos contemporains les biens et services qu’ils attendent de la forêt, sans remettre en cause la possibilité, pour les générations futures, de faire de même. et qui ne participe pas à la déforestation. Il existe également des
labels autour du lin pour tracer l’origine des ressources. Le bambou « made in France » émerge également et certaines entreprises sont engagées dans une démarche de
production éco-responsable. De nombreux producteurs se sont engagés dans la filière du chanvre, via une
charte d’engagement. Pour bien saisir ces enjeux, il est important de s’informer sur les
principes de durabilité et de
gestion des forêts respectueuse de l’environnement. Il faut ensuite analyser les besoins en produits finis de la région en effectuant une
étude de concurrenceL’étude concurrentielle permet d’obtenir un aperçu de la concurrence dans son environnement de marché. More.