« L’avantage d’un tel projet, c’est qu’à part l’outil numérique, il n’y a pas de gros investissement à faire. Au niveau de la force de travail, il ne faut que des convictions, des mollets et nos vélos ! » Dans un projet comme celui de Valentin, le plus difficile est de se faire connaître et de trouver une clientèle. La phase de démarrage nécessite donc des dépenses d’investissement pour disposer d’un outil numérique. Il faut donc trouver des partenaires financiers qui peuvent être publics : municipalités, départements, régions ou même l’Etat qui voient souvent d’un bon œil les initiatives alliant dynamisme économique et impact environnemental. Pour les livreurs, des aides à l’achat de vélos se développent. Il est également possible de se tourner vers des acteurs privés qui peuvent intervenir par le biais de
fondationsIl s’agit de la réunion d’une ou plusieurs personnes, physiques ou morales, qui décident d’affecter des biens et des ressources à la réalisation d’une œuvre d’intérêt général et à but non lucratif. ou de
business AngelsUn business angel, du terme « investisseur providentiel » en anglais, est une personne physique qui vient en aide aux nouvelles entreprises concernant leurs besoins de financements et de développement.. Pour ce genre de projet de proximité, on peut aussi mener une campagne de
financement participatifTrouver du financement participatif pour l’ESS. Enfin, il est possible d’aller voir les
banquesFinancement pour accompagner les entreprises de l’économie sociale et solidaire et leur permettre de jouer pleinement leur rôle sur les territoires More pour analyser leurs propositions et examiner les
dispositifs de financementsDispositifs de financement de l’économie sociale et solidaire More publics.